Les substances psychoactives (alcool/drogues/médicaments) en période de confinement et de déconfinement.
- Les Addictions, qu’elles soient liées, aux jeux, à l‘alcool, au tabac voire aux drogues sont nombreuses à pouvoir se déclarer en plein confinement.
- Elles peuvent être dangereuses et doivent être prises au sérieux, ces conduites pathologiques trouvant le calme dans la consommation de ces substances psychoactives.
- En effet, avec le confinement les pratiques addictives sont susceptibles d’engendrer d’autres risques non sans conséquences pour la personne, son entourage et pour l’entreprise, accidents du travail, augmentation et/ou aggravation des troubles psychiques, troubles du comportement, passage à l’acte sur soi ou autrui (agression, harcèlement, suicide...).
- L’addiction peut être majorée par le confinement due à l’oisiveté de la journée, et au manque de motivation, on repousse à plus tard
- Pendant le confinement le stress, l’isolement et l’ennui pèsent sur le moral. A chacun ses solutions
pour essayer de tenir le coup. L’alcool peut en être une pour certains d’entre nous.
- À petites doses l’alcool a un effet anxiolytique qui est apprécié. Mais ce n’est pas le seul moyen pour se détendre et passer un bon moment. Mais, attention à l’envol des consommations il n’est pas sans conséquences.
- Quand on parle de confinement on parle aussi d’ennui, d’isolement ou de partage imposé et ne pas avoir de but dans sa journée. Pour rompre cet état la personne peut compenser cette absence de liberté et l’on va faire l’Apéro du midi, puis du soir et l’on va finir la bouteille entamée. Tout cela, peut accentuer la consommation excessive d’alcool.
- Autre élément déclencheur, les échanges sur les réseaux sociaux, on partage par écran interposé, ça déculpabilise. Depuis le début du confinement des «e-apéros » ou apéritifs à distance se sont ainsi développés.
- Elles peuvent être dangereuses et doivent être prises au sérieux, ces conduites pathologiques trouvant le calme dans la consommation de ces substances psychoactives.
- En effet, avec le confinement les pratiques addictives sont susceptibles d’engendrer d’autres risques non sans conséquences pour la personne, son entourage et pour l’entreprise, accidents du travail, augmentation et/ou aggravation des troubles psychiques, troubles du comportement, passage à l’acte sur soi ou autrui (agression, harcèlement, suicide...).
- L’addiction peut être majorée par le confinement due à l’oisiveté de la journée, et au manque de motivation, on repousse à plus tard
- Pendant le confinement le stress, l’isolement et l’ennui pèsent sur le moral. A chacun ses solutions
pour essayer de tenir le coup. L’alcool peut en être une pour certains d’entre nous.
- À petites doses l’alcool a un effet anxiolytique qui est apprécié. Mais ce n’est pas le seul moyen pour se détendre et passer un bon moment. Mais, attention à l’envol des consommations il n’est pas sans conséquences.
- Quand on parle de confinement on parle aussi d’ennui, d’isolement ou de partage imposé et ne pas avoir de but dans sa journée. Pour rompre cet état la personne peut compenser cette absence de liberté et l’on va faire l’Apéro du midi, puis du soir et l’on va finir la bouteille entamée. Tout cela, peut accentuer la consommation excessive d’alcool.
- Autre élément déclencheur, les échanges sur les réseaux sociaux, on partage par écran interposé, ça déculpabilise. Depuis le début du confinement des «e-apéros » ou apéritifs à distance se sont ainsi développés.
- Le déconfinement implique un changement radical dans ce «train-train», il faut reprendre une vie avec des rythmes, se lever, manger et se coucher à des heures définies, faire des activités stimulantes qu’elles soient intellectuelles ou physiques.
- Le déconfinement va redéfinir complétement une journée séquencée avec ses contraintes. Ce peut être une source de stress, la meilleure façon de ne pas être confronté à une angoisse, c’est de ne pas en faire une obsession.
- Ce qui peut être une source de stress, d’une manière générale, ce sont les changements de régimes et d’habitudes auxquels on a fini par s’accoutumer et il faut maintenant se réadapter à un changement de repères, avec le déconfinement, ce qui est le plus difficile, c’est cette période de transition.
- Pendant cette période, c’est une modification des règles qui régissent la vie quotidienne, mais il va falloir vivre avec le virus et vivre avec lui sera évidemment difficile.
- S’habituer aux gestes barrières par le lavage régulier des mains et l’utilisation du gel hydro alcoolique, porter les protections (masque), être hors du contexte familial évoluer dans un milieu à partager avec cette appréhension latente d’être impacté par le virus.
- Ce nouveau départ face à la montée des angoisses et à l’incertitude de la contamination, le besoin d’un exutoire facile et à disposition, ce refuge éphémère pourra être une substance psycho active en premier lieu l’alcool. Trouver le prétexte et se donner bonne conscience.
- Dans le contexte du retour à l’activité professionnelle, le danger des habitudes prises lors de la période de confinement et de notre consommation, où l’on prétexte un moment de convivialité. Peut, sournoisement venir perturber notre comportement professionnel, par ce manque psychologique et physiologique.